Départ : Beffay (775 m)
Topo associé : Sur Cou, Face Est
Sommet associé : Sur Cou (1809 m)
Orientation : E
Dénivelé : 1034 m.
Ski : 2.1
Sortie du lundi 18 janvier 2021
Conditions nivologiques, accès & météo
ciel dégagé , - 4 au parking pas de vent au sommet Etat de la route : clean
Altitude du parking : 775
Surpris par le manque de neige au départ, tout s'arrange vers 1000 m
Altitude de chaussage (montée) : 775
Altitude de déchaussage (descente) : idem
Activité avalancheuse observée : RAS
Skiabilité : 😄 Excellente
Compte rendu
Avec Jean-Luc et fidji
Pourquoi Martine tenterait ce sommet.?
Je n'ose pas dire que ce CR pourrait provoquer chez les humains genre sexe "faible" une levée de boucliers, colliers bracelets et autres bijoux censés aguicher le sexe "fort"
Rhooo , je sens bien que ça va fumer chez les nanas .. et j'en rajoute en disant que ce sommet débonnaire correspond au profil de rando que les nanas aiment, mais je dis pas que ce sommet est féminin, bien que ...
Non, il est comme tout chose "hors genre" au delà de toute classification qui pourrait causer préjudice à quelque genre que ce soit .. Entendons nous bien, ce n'est pas parce que j'y ai vu au passage des charmants chalets disséminés au gré d'une exposition bénéfique et qui rendent dès le matin l'âme sereine grâce au soleil qui tout au long d'une belle journée hivernale, vous sourit, vous réchauffe des orteils au plus profond de votre squelette qu'il faut en déduire que vous seules y êtes sensibles..!
Ceci serait une lecture réductrice de ce qui anime tout être humain avec ou sans genre structuré.
Je reviens à ces chalets placés au endroits ou le soleil s'attarde, je revois ces fenêtres aux rideaux colorés, aux façades de bois vernis, aux pots de géraniums que je devine, à l'abri du froid.
Cette coquetterie, ce besoin vital de cocon appartient à tout humain, qu'il s'appelle Martine ou Robert, Germaine ou Léon.
Alors , quand la tête de celui qui passe se lève, que son regard se pose sur ce qui nous rend heureux, oublions tout le reste.
Oublions ces nuages qui arriveront, ces virus qui muteront, oublions que les instants filent entre nos doigts comme neige de ce jour, insoutenable légèreté de la poudre.