Combe des Séyères, le 02.01.18 par PatdeGap

Massif : Ecrins
Départ : Le Château de Caléyère (1240 m)

Topo associé : Mont Guillaume, par les Séyères

Sommet associé : Mont Guillaume (2550 m)

Orientation : NE

Dénivelé : 1090 m.
Ski : 2.2

Sortie du mardi 2 janvier 2018

PatdeGap

Conditions nivologiques, accès & météo

Beau au départ, puis voilé, puis brouillard, puis éclaircies, puis re-brouillard, puis retour du soleil, puis grand beau temps arrivé à la voiture...
Etat de la route : Enneigée à la montée, mouillée à la descente Altitude du parking : 1235m
Une bonne dizaine de cms de neige fraiche au départ et jusqu'à ~40cm à la Chapelle des Séyères, le tout sur un manteau neigeux déjà très conséquent (surement plus d'1m50 à 2000m à la sortie de la forêt).
En dessous de ~1800m la sous couche est bien humidifiée rendant la skiabilité plus aléatoire.
Ski globale ***à*****

Altitude de chaussage (montée) : 1235m
Altitude de déchaussage (descente) : 1235m

Activité avalancheuse observée : RAS

Skiabilité : 😐 Correcte

Compte rendu

Avec Jacques
Château de Caléyère - les Fontainiers - Pré Clos - Chapelle des Séyères - Combe des Séyères (arrêt 200m sous le Col de Tremp-Latz
La météo ne nous a pas été très favorable...
Parti du Château de Caléyère sous un beau soleil, nous arrivons à la Chapelle des Séyères dans un brouillard à couper au couteau.
Après une courte pose dans la chapelle, nous en ressortons pour constater que le brouillard se déchire et que le soleil semble vouloir percer timidement.
On opte alors pour une montée dans la combe des Séyères en direction du Col de Trempa-Latz (que nous n'envisagons pas d'atteindre) avec l'espoir d'une descente ensoleillée.
Voyant les brumes remonter de la vallée, on stoppe vers 2300m, et le temps de dépeauter, c'est à-tatons et en suivant la trace de montée que nous redescendons dans le brouillard jusqu'à la chapelle. Puis, au fur et à mesure de la descente, de larges trouées bleues percent les nuages et c'est sous un ciel limpide, un soleil radieux et des températures printanières que nous arrivons à la voiture.
Quand ça veut pas rigoler...