Départ : Aillon-le-jeune (Chartreuse) (1026 m)
Topo associé : Mont Colombier, Face Nord en boucle par les cols
Sommet associé : Mont Colombier (2045 m)
Orientation : T
Dénivelé : 1170 m.
Ski : 4.1
Faune : cet itinéraire passe près de zones sensibles. Voir consignes sur fiches topo
Sortie du lundi 14 mars 2016
Conditions nivologiques, accès & météo
Grand beau - Pas de ventEtat de la route : talus de neige 200m après la
Chartreuse d'Aillon
Altitude du parking : 1026
Bon regel nocturne. Neige dure de bout en bout à la montée. Couteaux pas indispensables dans la montée Sud au dessus de la Cochette. Ça passe bien en ski, malgré qq touffes d'herbe.
Descente Nord: traffolée par les nbx passages + soufflée au départ. Début de croûte dans les 150m suivants obligeant à des virages sautés - Poudre dense ensuite. La moitié basse de la pente N est bien meilleure: c'est encore du bon ski.
Traversée sous la face W: neige dure, n'ayant pas décaillé à 11h30
Descente sous le Col de la Cochette à 11h45: neige lourde et humide mais conservant une cohésion suffisante pour la sécurité. En forêt, au dessous: neige souple, ramollie en surface, agréable à skier.
Altitude de chaussage (montée) : 1026
Altitude de déchaussage (descente) : 1026. On skie jusqu'à la voiture, mais plus pour longtemps.
Activité avalancheuse observée : l'environnement du Col de la Cochette est ravagé par les avalanches, à droite et à gauche. Il y en a encore à partir, mais le gros est fait et le risque devient plus limité. Il vaut mieux quand même franchir le secteur avant 13h00.
Skiabilité : 😐 Correcte
Compte rendu
Avec Yves
Belle balade printanière, avec le chant des merles en musique de fond. Ce circuit est varié; on enchaîne toutes les expositions: Est, Sud, Nord, Ouest et re-Est pour le retour. Chaque fois, c'est accompagné d'un changement de décor radical. En période printanière, comme aujourd'hui, le timing est conditionné par le retour sous le col de la Cochette. Avant midi, si possible. Du coup, on passe sans transition d'Ouest en Est. D'une neige non décaillée qui crisse sous les carres, on bascule dans la grosse lourde sans glisse. Le contraste est saisissant.