Départ : le Buet (1330 m)
Topo associé : Le Buet, Par le vallon de la Pierre à Bérard
Sommet associé : Le Buet (3096 m)
Orientation : SE
Dénivelé : 1770 m.
Ski : 2.3
Faune : cet itinéraire passe près de zones sensibles. Voir consignes sur fiches topo
Sortie du samedi 7 mars 2009
Conditions nivologiques, accès & météo
Grand bleu avec un petit vent froid.Etat de la route : ok
Altitude du parking : 1330
La gouille au bouc et les gorges passent sans soucis.
Altitude de chaussage (montée) : 1330
Altitude de déchaussage (descente) :1330
Activité avalancheuse observée : purges en versant sud raide vers 13h.
Lieu | Alt. | Ori. | Heure | Qté. | Type | Com. |
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Vallon de Bérard | 1400-3100 | SW | 11h | 30/- | Poudre | globalement froide, légèrement humidifiée |
arête nord | 3100-2900 | N | 12h | Soufflée | cailloux pas loin | |
versant nord-est | Poudre | manque de remplissage | ||||
vallon de tré les eaux | 30/- | Poudre |
Skiabilité : 🙂 Bonne
Compte rendu (par Bistourett)
Itinéraire suivi : montée classique puis arête Nord jusqu'à 2950 puis versant NE et vallon de tré les eaux.
Nous avons profité de la trace de nos 2 prédécesseurs qui ont tout tracé jusqu'à l'antenne relais puis Patrick a tracé la fin. Merci à eux !
En haut, vue panoramique magnifique sur le massif du mont-Blanc, les Fiz, le Haut-Giffre, les dents Blanches et les Alpes Valaisannes.
Pour la descente, on hésitait entre descendre par le creux aux vaches ou rejoindre la crête de la montagne de la montagne aux Eves par l'arête Nord pour basculer sur Tré les eaux (B8.1 du toponeige). D'en haut, ça semble tout bon donc on se laisse tenter mais arrivés vers 2950 l'arête ne passe plus à skis et on choisit de basculer à vue versant NE. Ca passe plus ou moins bien avec un peu de gratonnage et on rejoint tré les Eaux ou on peut profiter de cette bonne neige poudreuse.
Ce vallon est magnifique et sauvage avec le passage de la Gouille au bouc. Sans trace et avec 30 cm de neige fraîche, le faux plat se transforme en non-descente (on a failli ressortir les peaux) puis après les passages des gorges, on retrouve de la pente dans la forêt et ça redevient skiant.