Départ : Les Favres (1080 m)
Topo associé : Croix du Nivolet, Versant Est
Sommet associé : Croix du Nivolet (1547 m)
Orientation : E
Dénivelé : 500 m.
Ski : 1.2
Sortie du samedi 3 mars 2018
Conditions nivologiques, accès & météo
-1.5 ° au départ, neige continue.Etat de la route :
ben pétard !!
Altitude du parking :
1300Altitude de chaussage (montée) : pg
Altitude de déchaussage (descente) : pg
Activité avalancheuse observée : nada pas assez de pente dans ce secteur 100% sûr.
Skiabilité : 😄 Excellente
Compte rendu
Fecle/Orionde/gorges/Sir/Uranus/chalets Nordiques
Ce matin il fallait être motivé pour prendre la route, je l’étais suite à une semaine agitée avec pas mal de fièvre. J’avais une envie forte de Galoper dans les Bauges et si possible à la Galope.
L’adrénaline du jour était sur une route ultra glissante plutôt que sur les skis. Ce qui m’a donné envie de coter la “roulabliité” plutôt que la skiabilité.
Ce qui donnait sur une échelle de 5* (je suis équipé de 4 pneus neige) :
Tunnel des Monts = 2* en raisons des bouchons
1er lacets à St Albens : = 2* en raison des nombreuses voitures patinant sur le coté obligeant à slalomer entre les voitures.
Route de Lovettaz = 1*. Compte tenu de la route je m’étais rabattu sur le Nivolet plutôt que la Galope. Je n’ai pas pu passer le 1er virage. Voiture bloqué en très mauvaise posture et j’ai dû faire une marche arriéré en catastrophe.
Malgré ce but j’étais toujours aussi décidé. Le col des Près (Galope) devenait un mauvais plan à cause de la descente sur la Leysse. Il ne me restait plus qu’a monter à la Féclaz sur une route devenu moins glissante = 2*
La partie ski pouvait enfin commencer après cette lutte acharnée en voiture (et insensé je dois je reconnaître).
Une 1er montée à Orionde suivit d’une 2iem au Sire suffisaient largement à mon bonheur. Le but étant de cracher un maximum de glaires. 20 cm de poudre recouvrant une belle sous-couche bien compact m’accompagnait tout au long de ma boucle (5* à tous les étages).
Arrivé à la voiture la partie n’était pas encore finie car la descente s’annonça aussi scabreuse que la montée avec des voitures naufragées dans tous les talus.
Braver la neige tel est mon crédo !