Départ : Les Roches (1138 m)
Topo associé : Col du Gleysin, par la combe des Roches
Sommet associé : Col du Gleysin (2578 m)
Orientation : E
Dénivelé : 1900 m.
Ski : 2.2
Sortie du mercredi 23 février 2011
Conditions nivologiques, accès & météo
Beau temps. Quelques résidus de stratus ça et la en début de matinée.
Vent de Nord avec fortes rafales sur les crêtes (chasse-neige).
Température agréable au soleil
Etat de la route :
ras
Altitude du parking :
1140 m10 cm de fraiche au départ, puis 30 cm en altitude avec des zones d'accumulation. Poudreuse densifiée par le travail du vent, mais agréable à skier, notament en versant N dans la Combe de Pellegrin.
Des passages en glace vive cachée sous la poudre sur le chemin de retour dans la forêt.
Altitude de chaussage (montée) : 1140 m
Altitude de déchaussage (descente) : 1300 m
Activité avalancheuse observée : Quelques signaux d'alertes : plusieurs woofs lors de la montée
La neige se fend en bordure des traces.
Dans les derniers mètres sous le col, la neige n'adhère pas sur le fond dur et se découpe en plaques.
Beaucoup de chasse-neige par vent de Nord près des sommets.
Des accumulations au dessus de 1800 m.
Et toujours une sous-couche foireuse (sans cohésion) en Nord.
Skiabilité : 🙂 Bonne
Compte rendu (par veloski)
Les Roches, L'orselle, Col du Gleyzin, L'Orselle, Combe de Pellegrin (vers 2300 m), L'Orselle, Les Roches
Départ des Roches avec pour objectif un rendez-vous au col du Gleyzin avec Romu parti de la Bourgeat Noire. Le rendez-vous n'a pas eu lieu car Romu jouant la sécurité c'est dérouté vers un secteur jugé moins exposé. Notre ballade s'est révèlé bien adapté au conditions nivo du jour.
Peu de monde dans le secteur, si ce n'est 3 randonneurs qui nous ont suivi dans la première montée et précèdé dans la descente ! sympa !!!
La montée vers Pellegrin tracée par trois autres randonneurs nous a parue tout de même bien chargée. Personne n'est allé au sommet ce jour, mais très bonne descente sur l'Orselle.
Le retour dans la Combe est en bonne conditions.
La traversée de la forêt à pieds au retour fut périlleuse pour
Jean-Louis qui à la troisième chute sur la glace vive dissimulée sous la poudre se décida à chausser les crampons.
Malgré tout, une belle journée.