Départ : Prabert (1220 m)
Topo associé : Cime de la Jasse, Combe Sud Lacs du Vénétier
Sommet associé : Cime de la Jasse (2478 m)
Orientation : S
Dénivelé : 1410 m.
Ski : 2.2
Sortie du mardi 16 février 2021
Conditions nivologiques, accès & météo
Ciel bleu se voilant dans la journée, Vent de SudEtat de la route : degagé jusqu'à la barrière
Skiable ensuite à la montée en faisant attention quand même
Altitude du parking : 1088
Altitude de chaussage (montée) : 1088
Altitude de déchaussage (descente) : 1180 environ
Activité avalancheuse observée : purges toutes faces, et surtout sous les reliefs
Lieu | Alt. | Ori. | Heure | Qté. | Type | Com. |
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Prabert | 1088 | 9h35 | Gelée | |||
Cime de la Jasse | 12h20 | Transfo lourde |
Skiabilité : 😐 Correcte
Compte rendu
Après avoir longtemps hésité, tergiversé, ce sera finalement direction la Cime de la Jasse en ce jour de repos. Le secteur Chamrousse me semblait surpeuplé d'avance, et je voulais changer un peu de secteur.
Apres le trajet, nous arrivons avec le camarade Thierry à la barrière de Prabert. 15 voitures de gendarmes nous attendent.Enfin, pas nous, hein! On n'est pas des terroristes quand même. Il s'agissait du groupe montagne (pas le PGHM) qui montait faire une sortie d'entrainement, à 25.
Donc nous voilà partis en chaussant dès la barrière. A partir du virage-parking estival, nous avons eu la mauvaise idée de passer en foret. Neige ultra humide et donc ca bottait furieusement, et ce pour tout le monde. Parce qu'on était loin d'être seuls au monde.
Arrivée au Habert d'Aiguebelle, les groupes se séparent, et nous montons direction la cime de la Jasse, via la combe des Vénetiers. Grosse neige bien transformée. Les traceurs matinaux ne sont eux pas des traceurs de coupe du monde : ils avaient choisi une option presque directe. Donc j'ai refait ma propre trace, en empilant beaucoup plus.
L'arrivée au sommet se fait après presque 3h d'effort. Et le choix de la descente : là où il n'y a pas de trace. Dans une très bonne neige de printemps qui nous permet de descendre un peu comme des bourrins pour revenir au Habert. Et revenir par le boarder qui est déjà bien taillé comme il faut. Et dans lequel la neige était sacrément mouillée.
Au moment de reprendre la route, il nous fallu déchausser : le soleil avait fait son oeuvre et remis une bonne partie de la route au noir.
Au final une belle bambée à la journée avec le camarade Thierry.